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Nous nous réservons le choix de ne pas publier s'ils nous semblaient ne pas le mériter. L'identité de l'auteur ou du propriétaire sera affichée ou pas selon son choix. Les photos pourront être retirées sur demande. |
Objets
Blason à coudre 1956
(Collection Guy Salomon) |
(Collection Alain Calmus)
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Cartes commerciales, Salon du Cycle 1983...et une plus tardive En-Tête de lettre
Casquette d'hiver 1972 à 1975.
Chaussures Zeus achetées chez Wolhauser pour les saisons 1979 et 1980. (Collection Alain Calmus) Ci-dessous, maillots des années 60 (Cornely). |
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Cuissard des années 70 (flockage). 
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Casquettes des années 60 et 70. |
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Survêtement des années 70.
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Combinaison et veste de survêtement saisons 1988 et 89.
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Vélos
Un vélo comporte beaucoup d'éléments consommables : boyaux, tresse de guidon, courroies de cale-pieds, gaines, cables, patins de frein, chaîne. Et si le vélo était celui d'un coureur cela était souvent remplacé, même aussi les jantes, voire les roues complètes (un peu usagées elles devenaient souvent roues d'entrainement).
La notion "tout d'origine" est donc rarement possible.
Si l'émaillage est d'origine et, si le vélo n'a que peu été modifié, mieux vaut dire "état d'usage".
Si beaucoup d'éléments ont été changés par l'utilisateur ou un collectionneur ou si le cadre a été repeint, si cela est fait bien dans l'esprit WOLHAUSER,"restauré" est mieux adapté.
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1950/51 un des trois WOLHAUSER que nous connaissons à ce jour avec ce type de cadre FOLLIS, le plus haut de gamme de l'époque. Plaque de marque du deuxième modèle. |
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Freins GLORIA "Iseran" à leviers "ergonomiques" (Lambert & Cagnon à Lyon). |
Manettes HURET, la grande commande le dérailleur arrière et la petite celui du pédalier.
A noter les plaquettes des haubans très concaves. |
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Marquages d'origine sur le tude diagonal,
la bague tricolore au tube de selle probablement aussi, mais pas le petit blason. |
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Comme beaucoup d'autres marques lyonnaises dès les années 30, WOLHAUSER avait des cuirs de selle à son nom. |
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Le jeu de direction, les roulement de pédalier, manivelles et pédales ne sont pas marquées. Moyeux EXCELTOO.
Le gonfleur n'est pas d'origine mais d'époque.
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Le couple et les dérailleurs sont des HURET (modèles sortis en 1949). Celui de l'arrière est à 4 vitesses. La cage du dérailleur avant dont la joue extérieure était cassée a été remplacé en conservant le mécanisme d'origine.
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Ultérieurement, une pin-up, un petit blason et des marquages d'une autre génération ont été ajoutés par l'utilisateur qui devait fréquenter assidûment le magasin pour les avoir obtenus.
Ces inscriptions WOLHAUSER sont plus petites, il se pourrait qu'elle fussent antérieures et abandonnées pour des plus grosses. 
Sur le dessus du tube horizontal.
Sur les côtés des bases, dessus celle de droite, dessous celle de gauche.
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Au loin Les Sauvages au sommet du col du même nom et le GR7.
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1958, premiers cadres italiens livrés par GALMOZZI, reconnaissables grâce à la tête de fourche, aux raccords de la douille de direction et la jonction des haubans au raccord de selle.
Il y avait deux qualités de cadre visuellement différenciées par les raccords de selle , les uns en tubes COLUMBUS 6/10 ème dont le haut de ce raccord comporte 4 pointes et les autres en tubes plus lourds où il est rectiligne.
Tous ces cadres étaient livrés uniquement en rouge avec douille de direction et manchon au tube de selle blancs et chromages "à l'Italienne".
Voici un formidable témoignage de ce qu'étaient les premiers cadres Italiens dont WOLHAUSER disposât.
Pédalier en acier à clavettes CYCLO, dérailleur arrière et manettes CAMPAGNOLO et dérailleur avant HURET. Ce dérailleur est-il d'origine ou est-ce un remplacement ?
Des leviers UNIVERSAL commandent des freins MAFAC, là il est certains qu'une modification a été faite. Logiquement ce sont les leviers qui semblent être d'origine ... 
Nous ne voyons pas cette décalcomanie "SPECIAL COURSE" sur les autres vélos que nous connaissons.
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Raccords et tête de fourche GALMOZZI.
A noter que l'anodisation rouge de la plaque n'a pas supporté les années. La roue avant est plus récente. 
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La selle marquée WOLHAUSER FS (pour Franco-Suisse) Compétition est une fabrication LAMPLUGH.
Le moyeu arrière est un GNUTTI avec une jante NISI. 
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En collection privée, ce vélo mérite de bénéficier d'une restauration minimale qui en préservera toute son authenticité. |
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Egalement assemblé autour d'un cadre GALMOZZI, celui-là en COLUMBUS 6/10ème, a été ré-émaillé dans les années 60, probablement chez DEPIGNY qui copiait le style des "Carpano" qui plaisait tant aux cyclistes lyonnais. D'autres artisans adoptèrent même ce genre pour leurs propres productions. A-t-il perdu sa plaque consécutivement à l'émaillage ou avait-il une décalcomanie dès sa vente ? |
Moyeux, dérailleurs Gran Sport, manettes "portapompa", et jeu de direction (modèle beaucoup plus récent) CAMPAGNOLO, freins UNIVERSAL Extra, modèle 51 (repose-mains et patins d'origine), roulement de pédalier et manivelles STRONGLIGHT, plateaux et adaptateur TA, tige de selle NITOR à chariot intégré (peut-être de l'époque du ré-émaillage), selle IDEALE et porte-bidons BERGER. |
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Le raccord "direct" amovible
CAMPAGNOLO est une réparation de la pompe SILCA "Impero". |
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1961, peut-être la première série des cadres livrés par PELA.
1961, peut-être la première série des cadres livrés par PELA.
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Le premier vélo de contrat de Gérard Norce avec lequel en septembre 1961 il a remporté (à peine 18 ans) le Prix SLAMO à Lyon. (voir page photos, les routiers)
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Cadre en COLUMBUS (6/9 ou 4 dixièmes ?) à raccords "lisses", tout CAMPAGNOLO, selle BROOKS et freins UNIVERSAL. Restauré et conservé par Gérard Norce. Les marques sont des autocollants récents et les supports du porte-bidon ont été ajoutés ultérieurement lors d'un ré-émaillage.
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Ci-dessous à gauche, Gastone NENCINI vainqueur du Tour de France 1960 ... et à droite, un coureur non identifié, dans Milan-San Remo 1962, sur les vélos sans marque de l'équipe CARPANO, dont les cadres étaient fait par Giuseppe PELA. En 1961 l'équipe BARATTI disposait des mêmes vélos.
Ci-dessous à gauche, Gastone NENCINI vainqueur du Tour de France 1960 ... et à droite, un coureur non identifié, dans Milan-San Remo 1962, sur les vélos sans marque de l'équipe CARPANO, dont les cadres étaient fait par Giuseppe PELA. En 1961 l'équipe BARATTI disposait des mêmes vélos.
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1961 ou 62 : cadre PELA en COLUMBUS, à raccords dentelés, émaillage "Carpano" d'origine, chromé à l'italienne (raccords de douille de direction, tête et embouts des fourches).
Il y en a aussi eu dans la même présentation, avec le gris métallisé remplacé par un jaune vif.
Jeu de direction, passe-vitesses, dérailleurs, butées et colliers de gaines, moyeux et blocages CAMPAGNOLO. Jantes NISI. Roulement de pédalier et manivelles STRONGLIGHT 170 mm. Plateaux T.A. Pédales non identifiées. Tige de selle NITOR. Selle BROOKS. Potence et cintre AMBROSIO Champion. Leviers et étriers de freins MAFAC. Etat d'usage. Le positionnement des patins de frein montre bien la difficulté à monter certains accessoires français sur un cadre aux cotes italiennes.
Les cadres PELA arrivaient d'Italie émaillés et chromés.
Pendant la période où cette présentation fut très prisée, des vélos plus anciens, provenant donc d'autres cadreurs que PELA furent ré-émaillés (chez Depigny à Lyon) de façon très semblable. Il y avait des différences minimes: afin de dégager l'emplacement du
blason à la douille de direction, l'anneau noir n'y était pas et les anneaux noirs et blancs du manchon étaient inversés, ou remplacés par des manchons de configuration diverses, cela probablement pour ne pas risquer d'ennui avec le Groupe Sportif Carpano.
1963 ou 64 : cadre PELA en COLUMBUS. Pédalier 172,5 mm PISTA, 151 bcd, roulement, pédales et moyeux CAMPAGNOLO. Jantes NISI. Jeu de direction BARTALI. Cintre et potence CINELLI. Tige de selle NITOR. Selle UNICANITOR. Etat d'usage. Le maillot (de route) est un peu plus ancien.
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Cadre PELA en COLUMBUS chromé
qui apparaît en 1963. Le blason d'origine est d'avant 1965. Restauré, autour du cadre en état d'usage avec un pédalier (144 BCD) plus récent. Collection Emilea. |
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1966, cadre PELA en COLUMBUS, équipé CAMPAGNOLO, freins UNIVERSAL 61, selle BROOKS, ré-émaillé plus tard. Il semble que la potence et le cintre aient été modernisés. Collection Jean Louis Bouvier
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Acheté en août 1971 : cadre PELA en COLUMBUS peint à l'Epoxy (il n'y en aurait eu qu'en rouge). Jeu de direction, roulement, pédalier 151 bcd (fabrication arrêtée en 1968, Wolhauser avait du stock), manivelles 172,5 mm, pédales, tige de selle, dérailleurs, passe-vitesses et moyeux CAMPAGNOLO. Freins UNIVERSAL 68. Cintre et potence TTT. Selle BROOKS. Etat d'usage.
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A partir de 1973 : C'est la période pendant laquelle "Wolhau" chercha un cadreur pour remplacer le mieux possible PELA. Ce cadre aux cotes italiennes semble être en COLUMBUS, émaillé et chromé "style CARPANO simplifié".
Freins UNIVERSAL 61, dérailleurs CAMPAGNOLO (Patent 1973), pédalier et moyeux 30 rayons ZEUS, jantes MARTANO. Etat d'usage. |
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Les raccords, la tête de fourche et la découpe à la boîte de pédalier ne sont pas ceux que PELA livrait à WOLHAUSER.
Collection Dominique Bouten. |
Est-ce un PICCHIO, un COLNAGO, un LIMONGI
ou un autre cadreur occasionnel ? (Enquête en cours) |
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Restaurée en conservant son émaillage d'origine, voici une machine remarquable par sa potence AMBROSIO en dural réglable en longueur et ses freins CAMPAGNOLO, non marqués, de première génération. Collection Jean-Michel
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Vers 1975 : le dernier vélo personnel de Raymond Wolhauser.
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Lorsqu'une nièce de Anna Wolhauser, veuve de Raymond nous annonça avoir ce vélo, et pourquoi c'est elle qui l'avait hérité, son authenticité ne pouvait être mise en doute.
Cependant, en découvrant la première photo (ci-dessus à gauche), il ne nous sembla pas pensable que Raymond Wolhauser, même s’il était grand, ait pu positionner la selle avec autant de recul, lui qui savait si bien définir la taille des cadres des ses clients et coureurs. Nous n’imaginions pas non plus «Wolhau» choisir cette guidoline pour son propre usage.
Plus tard, à l’observation directe de la machine, nous découvrîmes que cette guidoline, les roues, moyeux Normandy, blocages rapides, rayons, jantes et pneus, les courroies de cale-pieds, gaines, câbles et patins de freins étaient complètement neufs et plus récents que le vélo. Impensable de la part de Raymond Wolhauser, le câble du frein avant, pas coupé, «pendouillait» le long de la fourche (ci-dessus à droite). Et que penser de la réparation avec de l’adhésif blanc des repose-mains dont le caoutchouc était déchiré, alors qu’il aurait suffit d’en prendre des neufs dans le stock ?
Henry, qui l'avait assemblé, sans même le revoir, le décrivit au téléphone presque exactement comme il était, mais pas tout à fait.
Il était évident que quelqu’un était intervenu sur ce vélo après le décès du constructeur … et l’héritière se souvint de l’avoir prêté quelques temps à un neveu qui, plus grand que Raymond Wolhauser, avait finalement préféré rouler à VTT.
Cependant, en découvrant la première photo (ci-dessus à gauche), il ne nous sembla pas pensable que Raymond Wolhauser, même s’il était grand, ait pu positionner la selle avec autant de recul, lui qui savait si bien définir la taille des cadres des ses clients et coureurs. Nous n’imaginions pas non plus «Wolhau» choisir cette guidoline pour son propre usage.
Plus tard, à l’observation directe de la machine, nous découvrîmes que cette guidoline, les roues, moyeux Normandy, blocages rapides, rayons, jantes et pneus, les courroies de cale-pieds, gaines, câbles et patins de freins étaient complètement neufs et plus récents que le vélo. Impensable de la part de Raymond Wolhauser, le câble du frein avant, pas coupé, «pendouillait» le long de la fourche (ci-dessus à droite). Et que penser de la réparation avec de l’adhésif blanc des repose-mains dont le caoutchouc était déchiré, alors qu’il aurait suffit d’en prendre des neufs dans le stock ?
Henry, qui l'avait assemblé, sans même le revoir, le décrivit au téléphone presque exactement comme il était, mais pas tout à fait.
Il était évident que quelqu’un était intervenu sur ce vélo après le décès du constructeur … et l’héritière se souvint de l’avoir prêté quelques temps à un neveu qui, plus grand que Raymond Wolhauser, avait finalement préféré rouler à VTT.
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Nous avons donc décidé d'une guidoline plus discrète en conservant les caoutchoucs d’origine, qu’il a fallu recouvrir largement afin qu’ils ne se déchirent pas plus, et de positionner la selle correctement.
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Ce vélo est assemblé autour d'un très rare cadre MIOSOTIS entièrement en duralumin (http://anciensveloslyonnais.weebly.com/miosotis-mario-miosotti.html ) Les logos W créés par James Wolhauser (merci Jacques) ont donc été ajoutés ultérieurement. La qualité des tubes figure à la douille de direction ... mais toujours pas le cadreur. 
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Raymond Wolhauser n'était pas un maniaque des derniers perfectionnements et moins encore pour ses propres vélos que pour ceux des coureurs sous contrats, voire, des clients qui ne les exigeaient pas. Il utilisait sans problème des accessoires réformés des vélos des autres, qu'il trouvait encore corrects pour lui, et des fonds de stocks invendus. Le jeu de direction, sans marque apparente, fait exception car c'est une nouveauté japonaise que Wolhau avait testée ...
Raymond Wolhauser avait-il choisi un
cadre MIOSOTIS par fidélité amicale envers Mario Miosotti qui fut probablement le premier à lui fournir des cadres sur mesures, ou peut-être tout simplement pour la "différence" qu'il a toujours cultivée ? |
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Tige de selle SATRI de 25 mm de diamètre.
Les freins UNIVERSAL 68 et les plateaux étaient copieusement ajourés par une entreprise lyonnaise de mécanique de précision. |
Dérailleurs CAMPAGNOLO, ainsi que le pédalier à manivelles de 172,5 mm, d'un modèle ancien ne pouvant recevoir un plateau inférieur à 44 dents, dont la fabrication avait cessée en 1968. Les leviers de changement de vitesses (voir plus haut), la selle, les pédales et le guide-gaine sur la boîte de pédalier sont des ZEUS.
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L'élément le plus ancien est le cintre T.T.T. Gran Prix.
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Nous avons choisi d'équiper ce vélo de roues à moyeux CAMPAGNOLO 32 rayons à l'avant, 36 à l'arrière et boyaux.
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Voici une très belle machine, probablement de la deuxième moitié des années 70, très bien équipée en CAMPAGNOLO, dont nous ne connaissons pas la provenance du cadre entièrement chromé, aspect qui a largement contribué au succès des vélos WOLHAUSER : 
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Les cadres PELA en COLUMBUS représentaient le plus haut niveau qualitatif possible de leur époque, mais d'autres cadreurs proposaient des cadres d'un niveau comparable.
Les quelques cadres en dural fournis par Mario Miosotti auraient peut-être pu être le top, mais la production ne pouvait être que très confidentielle.
En s'assurant l'exclusivité des cadres en dural fabriqués à Bron par Raymond CLERC, WOLHAUSER
faisait une nouvelle fois le bon choix et prenait de l'avance sur la concurrence tout en préservant la réputation de
solidité de ses machines.
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1976 / 1979 :
Les premiers cadres "dural" de Raymond CLERC ...
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... sont surtout reconnaissables aux renforts en haut des fourreaux côtés intérieurs de la fourche.
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Ils sont monobloc, sans aucun raccord.
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Machine équipée en CAMPAGNOLO,
roues à 32 rayons, manivelles de 180 mm et une tige de selle SATRI. |
Voir plus de détails techniques au sujet des cadres Raymond CLERC ici : https://anciensveloslyonnais.weebly.com/clerc-raymond.html
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Un WOLHAUSER gréé en randonneuse légère avec un pédalier triple et un dérailleur à grande chape n'est pas courant, et sur un cadre en dural encore moins. Celui-là a probablement perdu les autocollants CLERC au tube diagonal, sinon il y aurait WOLHAUSER et rien à la fourche. Les bagues tricolores sont pour marquer le titre de Champion de France Junior 1979 de Philippe Chevallier . |
Collection Antoine Grousson. |
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Cadre Raymond CLERC "dural" première génération, d'abord poli, émaillé et re-marqué dans les années 80. Cintre et potence WOLHAUSER. Roulement, pédalier triple, manivelles 175 mm, pédales, moyeux à 30 rayons et selle (très usée) ZEUS. Jeu de direction, tige de selle et dérailleurs CAMPAGNOLO. Freins UNIVERSAL 68.
Etat d'usage, seulement les leviers de freins ont été remplacés. Le couvre-selle plus récent semble conçu pour lui.
Etat d'usage, seulement les leviers de freins ont été remplacés. Le couvre-selle plus récent semble conçu pour lui.
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Un autre vélo à cadre Raymond CLERC de première génération, lui aussi poli à l'origine et partiellement émaillé et re-marqué dans les années 80.
Un autre vélo à cadre Raymond CLERC de première génération, lui aussi poli à l'origine et partiellement émaillé et re-marqué dans les années 80.
Pédalier, pédales, dérailleur avant, manettes et freins CAMPAGNOLO, dérailleurs arrière SR (modèle de 1975),
roues ZEUS à 30 rayons, tige de selle SATRI. Etat d'usage.
roues ZEUS à 30 rayons, tige de selle SATRI. Etat d'usage.
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Collection Dominique Bouten.
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Voici à droite et ci-dessous, une bicyclette assemblée sur un cadre BACO (Batifoulier et Collas à Romainville) en Vitus 971, achetée en 1976. Verte à l'origine elle fut réémaillée et modernisée pour participer au Paris-Roubaix cyclo de 1984, pendant et à l'issue duquel furent prises les photos. Elle porte donc les marquages, des dérailleurs et des roues de cette période. |
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1977 / 1979 : cadre BACO de cyclo-cross, en SUPER-VITUS, avec grand dégagement autour des boyaux. Cintre et potence WOLHAUSER. Jeu de direction, tige de selle, selle, dérailleurs, roulement et pédalier (170 et 49x38) ZEUS.
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Pédales larges en dural, cale-pieds doublés rivetés en haut, courroies coupées et boulonnées pour limiter le "bourrage" sous les pieds.
Frein arrière de tandem pour plus de puissance grâce aux branches de tirage et aux patins plus longs. |
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1981 ou 82 : c'est la bicyclette personnelle de Anna la seconde épouse, veuve de Raymond Wolhauser, que son héritière utilisa ensuite pendant plusieurs années pour se rendre à son travail.
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Cadre de provenance non identifiée, pédalier, dérailleurs et manettes ZEUS 2000, freins UNIVERSAL 61, moyeux NORMANDY, potence PIVO et garde-boues BLUEMEL'S Classiques.
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Etat d'usage. Nous lui avons affecté les roues qui étaient trop récentes pour celui de Raymond.
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1982 : cadre BACO en SUPER-VITUS. Cintre, potence et tige de selle WOLHAUSER. Freins UNIVERSAL 77. Jeu de direction sans marque. Roulement, pédalier, pédales dérailleurs et manettes ZEUS. Moyeux 32 rayons CAMPAGNOLO. Jantes FIAMME. Etat d'usage. |
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Cadre BACO en SUPER-VITUS 1985/86. Restauré conforme avec un ensemble ZEUS sur un cadre conservé en état d'usage. Collection Emilea.
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1987/88, cadre Raymond CLERC en dural.
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Tout CAMPAGNOLO Super Record, manivelles 175, sauf les étriers de freins Victory. Cintre et potence WOLHAUSER. Selle CONCOR Confort, tige de selle profilée non identifiée (*S*). Etat d'usage. Page "Pour les collectionneurs" : En 1987 (sur la photo,dans la vitrine du magasin) et en 1988, les grandes marques blanches réapparaîssent sans les bagues arc-en-ciel, avec le nouveau logo à la douille de direction. |
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En début de 1990, une série spéciale de 30 VTT à cadre en acier fut assemblée, en 6 tailles différentes, pour une petite structure d'organisation et accompagnement de randonnées VTT nouvellement créée.
En début de 1990, une série spéciale de 30 VTT à cadre en acier fut assemblée, en 6 tailles différentes, pour une petite structure d'organisation et accompagnement de randonnées VTT nouvellement créée.
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B.1 indique qu'il s'agit d'un des trois cadres de la taille immédiatement après le plus grand (A) dont il n'y avait qu'un exemplaire.
Dès l'année suivante, cette structure fut intégrée aux activités du Lac des Sapins et dès lors les vélos connurent une activité intense. 
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Le moins qu'on puisse dire est qu'ils furent robustes ! Certes, au fil des années, il y a eu de la casse et les machines "réformées", servirent de banque de pièces pour la maintenance des autres. L'élément le plus souvent cassé fut le disque protection des rayons et à la longue des tiges de selle plièrent vers l'arrière et furent remplacées.
Etat d'usage, le pneu arrière, la tige de selle, les câbles et les gaines grises ne sont pas d'origine.
Etat d'usage, le pneu arrière, la tige de selle, les câbles et les gaines grises ne sont pas d'origine.
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Après avoir longtemps servi, l'un de ces VTT fut vu en déchetterie en novembre 2012. Il était un peu tordu, les freins et leurs leviers, les commandes des vitesses, le pédalier, le dérailleur arrière et peut-être la roue-libre avaient été changés, la roue et le dérailleur avants avaient disparus. Il ne pouvait retrouver exactement sa configuration d'origine. |
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Un des premiers VTT à cadre dural probablement soudé chez DUQUEINE à Villeurbanne, roule toujours en émaillage d'origine avec quelques adaptations à son nouvel utilisateur. 
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