Blog évolutif réalisé par Bernard Gougaud (client plus de 20 ans) et Henry Wisniewski (le mécanicien pendant 30 ans),
complété d’autres témoignages, avec l’accord et l’aide de Karine et Steve, les petits enfants de Raymond Wolhauser.
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Chacun d’entre nous tous ne saura jamais que ce qu’il sait et, à l’autre bout du monde, ou sur le même palier, il peut toujours y avoir quelqu’un (à qui, peut-être, on ne dit même pas bonjour) qui, dans notre thème préféré, sait quelque chose que l’on ne connaît pas, que l’on ne saura peut-être jamais... si on ne veux pas l’entendre.
Bernard Gougaud
wolhaulyon@gmail.com
L’histoire
Gabriel Marcelin Wolhauser
est né le 31 décembre 1916 à 1 heure du matin à Granges sur
Baume dans le Jura, de parents Suisses francophones.
Les parents étaient tous deux nés dans le canton de Fribourg, le père, Félix Nicolas Wolhauser en 1889 à Arconciel et la mère, Louise Marie, en 1885 à Pont-la-Ville. Sur l'acte de naissance de Gabriel, le nom de Louise Marie est Shouvey ou Showey, sur son propre acte de décès, c'est Shuney.
Le couple a aussi eu deux filles nées à Granges sur Baume : Marcelle Thérèse Philomène le 18 mai 1918 et Gabrielle Joséphine Louise le 5 janvier 1922, décédée le 14 février. En 1916 Félix était déclaré fromager et en 1922 agriculteur.
Sur les documents suisses de cette famille le nom était Wohlhauser.
Ensuite la famille s’était déplacée au nord de Lyon où il semble que Félix ait travaillé pour une famille d'industriels dans les Monts d'Or. Lors du recensement de 1936, les Wolhauser habitaient à Saint Rambert l’Ile Barbe. Le père était déclaré "patron" agriculteur, le fils fut alors déclaré Raymond, jardinier (probablement pour la même famille d'industriels), la mère et la fille sans profession. Tous étaient de nationalité Suisse. La fille, qui était alors déclarée Thérèse, s’y maria le 27 février 1937.
Quand et pourquoi Gabriel devint-il Raymond ?...
Serait-ce à la suite du décès de Gabrielle ?... Est-ce que ce fut un changement officiel ou seulement d'usage ?... Sur le registre d'Etat Civil de Granges sur Baume, il est né, marié et décédé Gabriel. Sur sa tombe est inscrit Raymond.
Comme pour tout enfant né en France de parents étrangers, il fit l'objet d'un décret de naturalisation le 17 décembre 1938, avec le prénom Raymond (J.O. réf 14-39). Il déclina la naturalisation.
Bon coureur cycliste jusqu'en 1944, pendant la deuxième guerre mondiale il se lança dans la fabrication de lacets. Ce fut un échec et il mit très longtemps pour écouler le stock.
A noter que pendant cette guerre, un Max Wolhauser participa à des courses cyclistes. En 1941: 35ème de la Flèche du Rhône (Avignon-Lyon), 15ème de la coupe Marcel-Vergeat (St Etienne-Lyon), en 1942 : 27ème du tour du Lac Léman, abandon au Tour de Suisse et éliminé en série au Championnat de Suisse de vitesse, il est dit de St Rambert et une année au moins, il court pour RHONSON, marque dont Raymond Wolhauser sera agent plus tard. Coïncidences ou nouveau prénom temporaire ?
L’année du début des cycles WOLHAUSER est elle aussi un peu mystérieuse (la période s’y prêtait peut-être un peu) :
1) Raymond aurait suivi une formation chez CHAMPETIER dont il avait porté le maillot.
2) La «Société de mécanique et cycles Suzanne Wolhauser,
77 avenue Berthelot» fut créée en 1944. (Archives de la Chambre des métiers du Rhône).
3) Raymond Wolhauser épousa Suzanne Moreau le 10 février 1945 à Caluire.
Gabriel Marcelin Wolhauser
est né le 31 décembre 1916 à 1 heure du matin à Granges sur
Baume dans le Jura, de parents Suisses francophones.
Les parents étaient tous deux nés dans le canton de Fribourg, le père, Félix Nicolas Wolhauser en 1889 à Arconciel et la mère, Louise Marie, en 1885 à Pont-la-Ville. Sur l'acte de naissance de Gabriel, le nom de Louise Marie est Shouvey ou Showey, sur son propre acte de décès, c'est Shuney.
Le couple a aussi eu deux filles nées à Granges sur Baume : Marcelle Thérèse Philomène le 18 mai 1918 et Gabrielle Joséphine Louise le 5 janvier 1922, décédée le 14 février. En 1916 Félix était déclaré fromager et en 1922 agriculteur.
Sur les documents suisses de cette famille le nom était Wohlhauser.
Ensuite la famille s’était déplacée au nord de Lyon où il semble que Félix ait travaillé pour une famille d'industriels dans les Monts d'Or. Lors du recensement de 1936, les Wolhauser habitaient à Saint Rambert l’Ile Barbe. Le père était déclaré "patron" agriculteur, le fils fut alors déclaré Raymond, jardinier (probablement pour la même famille d'industriels), la mère et la fille sans profession. Tous étaient de nationalité Suisse. La fille, qui était alors déclarée Thérèse, s’y maria le 27 février 1937.
Quand et pourquoi Gabriel devint-il Raymond ?...
Serait-ce à la suite du décès de Gabrielle ?... Est-ce que ce fut un changement officiel ou seulement d'usage ?... Sur le registre d'Etat Civil de Granges sur Baume, il est né, marié et décédé Gabriel. Sur sa tombe est inscrit Raymond.
Comme pour tout enfant né en France de parents étrangers, il fit l'objet d'un décret de naturalisation le 17 décembre 1938, avec le prénom Raymond (J.O. réf 14-39). Il déclina la naturalisation.
Bon coureur cycliste jusqu'en 1944, pendant la deuxième guerre mondiale il se lança dans la fabrication de lacets. Ce fut un échec et il mit très longtemps pour écouler le stock.
A noter que pendant cette guerre, un Max Wolhauser participa à des courses cyclistes. En 1941: 35ème de la Flèche du Rhône (Avignon-Lyon), 15ème de la coupe Marcel-Vergeat (St Etienne-Lyon), en 1942 : 27ème du tour du Lac Léman, abandon au Tour de Suisse et éliminé en série au Championnat de Suisse de vitesse, il est dit de St Rambert et une année au moins, il court pour RHONSON, marque dont Raymond Wolhauser sera agent plus tard. Coïncidences ou nouveau prénom temporaire ?
L’année du début des cycles WOLHAUSER est elle aussi un peu mystérieuse (la période s’y prêtait peut-être un peu) :
1) Raymond aurait suivi une formation chez CHAMPETIER dont il avait porté le maillot.
2) La «Société de mécanique et cycles Suzanne Wolhauser,
77 avenue Berthelot» fut créée en 1944. (Archives de la Chambre des métiers du Rhône).
3) Raymond Wolhauser épousa Suzanne Moreau le 10 février 1945 à Caluire.
4) Une fiche d'enregistrement du commerce est établie en 1945, sur laquelle apparaît l'adresse au 79 Avenue Berthelot.
5) Dans une publication non datée précisément mais d'avant juin 1945, les CYCLES RHONSON annoncent l'Agence Franco-Suisse WOLHAUSER. Selon le témoignage d'un ancien Président de la Chambre Syndicale du Cycle de Lyon, cette structure aurait aidé à la création de cette affaire afin de pallier au manque de marchands de cycles dû à la guerre, sinon financièrement, au moins en trouvant le local. Il semblerait que ce fut la même démarche qui engendra la création des Cycles RHONSON, d'où la liaison des deux marques... |
Administrativement et juridiquement la société était française, on pourrait même dire exclusivement lyonnaise. Elle faisait aussi la réparation des motos et une petite station essence, dont les cuves étaient dans la cour à l’arrière du bâtiment, était installée sur le très large trottoir.
L'atelier était au 77, à la place d'un photographe et le magasin au 79, après qu'un mur ait été percé.
Lorsque vint la mode des cyclomoteurs elle vendit des «Rhonsonnette» dont certaines rebaptisées WOLHAUSER. Dans le bottin professionnel de 1952 figure la mention «cadres spéciaux sur mesures».
En 1956 Raymond Wolhauser ne vendait plus que des vélos à sa marque, qu’il pouvait motoriser avec des moteurs auxiliaires Le MISTRAL, ainsi que des cyclomoteurs Benoit FAURE (marque mise en liquidation le 2 octobre).
En 1960 la station avait été démontée. Le précédent mécanicien parti au service militaire, des coureurs venaient à tour de rôle le remplacer car Raymond Wolhauser n’était pas mécanicien du tout. Outre la vente, domaine dans lequel il n’avait pas son pareil, il se limitait à la pause des marques et au collage des boyaux. De son expérience de coureur il savait ce qui était important pour le bon rendement d’un vélo, et ce qui l’était moins. Par dessus tout, il avait un goût indiscutable pour le très beau et une extraordinaire faculté de discernement des qualités du matériel et des hommes.
Cette année-là, un «gone» (dont le père connaissait Raymond Wolhauser et un cousin et un oncle couraient sur des WOLHAUSER) avait acheté un vélo demi-course. Raymond Wolhauser l’embaucha en octobre. Dès le début de son apprentissage «sur le tas» et après un CAP cycles et motos, Henry assembla, régla et répara tous les WOLHAUSER pendant 30 ans, secondé plus ou moins régulièrement par des coureurs qui venaient pour pré-monter des roues, surtout les hivers. Il y eu aussi quelques apprentis.
La devanture surélevée par rapport au trottoir, était peinte en rouge foncé avec les inscriptions blanches. Il y avait deux vitrines dans chacune desquelles pouvaient tenir deux vélos, un posé et l’autre pendu. Derrière celle de gauche c’était l’atelier et son vieux parquet de bois, (lorsque les locaux furent rénovés, Henry insista pour que l’on fasse un nouveau parquet à l’atelier afin que les pièces éventuellement échappées ne soient pas abimées, ce qui fut fait). A droite de la porte d’entrée, une petite vitrine accueillait des accessoires et vêtements. Dès la porte franchie, l'odeur de la colle à boyau donnait le ton. Le magasin au sol en dalles, était si encombré qu’il paraissait petit, avec des rayonnages à casiers sur deux côtés, matériel à droite, bonneterie et chaussures au fond, derrière une grande banque dont les tiroirs renfermaient les merveilles qu’on ne montrait pas à tout le monde. Quelques vélos attendaient que leurs acheteurs viennent en prendre possession. Evidemment, des cadres en attente de montage et surtout des roues pendaient au plafond. Les boyaux étaient stockés dans l’arrière boutique.
Suzanne Wolhauser était la gestionnaire de tout cela, jusqu’à son décès en décembre 1969.
En 1982 la société devint WOLHAUSER et Fils et la devanture reçut un rouge plus vif (photo en tête de page).
A côté de tout cela Raymond Wolhauser était aussi un grand amateur de football qui entrainait souvent son mécanicien à Gerland pour assister aux matchs.
James Wolhauser (1948-2007), encore plus "footeux" que son père, avait joué défenseur en division d’honneur au Sporting Club Saint Clair - Caluire. Après avoir intégré la boutique au début des années 70, il devint directeur de la nouvelle société WOLHAUSER & Fils créée le 1er janvier 1982. Bien que la maladie se fut progressivement installée le "Grand Wolhau" supervisait toujours le fonctionnement, puis de moins en moins…..
Raymond Wolhauser mourut le 6 juin 1992.
A la fin des années 80 ZEUS avait disparu et CAMPAGNOLO était, provisoirement, en difficulté face à la qualité du matériel SHIMANO, mais le stock des deux marques était encore important et James souhaitait l’écouler avant de s’approvisionner en matériel japonais... Les vélocistes concurrents, qui avaient bien amélioré la présentation de leurs machines, choisirent l’option nippone. Les nouveaux clients, influencés par la presse spécialisée en plein développement, n’envisageaient plus le panachage des marques d’accessoires... Tout ce qui avait fait le charme, la spécificité et l’intérêt de WOLHAUSER devenait obsolète. Et personne ne pouvait rien à cette évolution...
L’affaire placée en redressement judiciaire fut cédée à un repreneur le 1er avril 1995.
La liquidation de la société WOLHAUSER déclencha un article dans "Le Monde" édition Rhône-Alpes du 23 avril 1996, preuve de la renommée de la marque dans cette région.
Plus tard les cycles WOLHAUSER ont été recréés à une autre adresse, c’est donc une autre histoire.
Epilogue
WOLHAUSER avait équipé beaucoup des meilleurs coureurs amateurs régionaux, à un moment ou un autre de leur carrière, mais jamais quelque équipe professionnelle que ce soit, ni suisse, ni française.
Raymond Wolhauser allait personnellement s’approvisionner chez CAMPAGNOLO. Giuseppe Martano livrait lui-même les cadres faits en Italie et ses jantes. Les «patrons» de ZEUS et CLEMENT visitaient régulièrement le magasin de l’avenue Berthelot
James Wolhauser (1948-2007), encore plus "footeux" que son père, avait joué défenseur en division d’honneur au Sporting Club Saint Clair - Caluire. Après avoir intégré la boutique au début des années 70, il devint directeur de la nouvelle société WOLHAUSER & Fils créée le 1er janvier 1982. Bien que la maladie se fut progressivement installée le "Grand Wolhau" supervisait toujours le fonctionnement, puis de moins en moins…..
Raymond Wolhauser mourut le 6 juin 1992.
A la fin des années 80 ZEUS avait disparu et CAMPAGNOLO était, provisoirement, en difficulté face à la qualité du matériel SHIMANO, mais le stock des deux marques était encore important et James souhaitait l’écouler avant de s’approvisionner en matériel japonais... Les vélocistes concurrents, qui avaient bien amélioré la présentation de leurs machines, choisirent l’option nippone. Les nouveaux clients, influencés par la presse spécialisée en plein développement, n’envisageaient plus le panachage des marques d’accessoires... Tout ce qui avait fait le charme, la spécificité et l’intérêt de WOLHAUSER devenait obsolète. Et personne ne pouvait rien à cette évolution...
L’affaire placée en redressement judiciaire fut cédée à un repreneur le 1er avril 1995.
La liquidation de la société WOLHAUSER déclencha un article dans "Le Monde" édition Rhône-Alpes du 23 avril 1996, preuve de la renommée de la marque dans cette région.
Plus tard les cycles WOLHAUSER ont été recréés à une autre adresse, c’est donc une autre histoire.
Epilogue
WOLHAUSER avait équipé beaucoup des meilleurs coureurs amateurs régionaux, à un moment ou un autre de leur carrière, mais jamais quelque équipe professionnelle que ce soit, ni suisse, ni française.
Raymond Wolhauser allait personnellement s’approvisionner chez CAMPAGNOLO. Giuseppe Martano livrait lui-même les cadres faits en Italie et ses jantes. Les «patrons» de ZEUS et CLEMENT visitaient régulièrement le magasin de l’avenue Berthelot
C’est sur le stand WOLHAUSER que fut présentée, dans un salon régional, la première roue paraculaire en matériaux composites (qui deviendra plus tard la DISCJET) conservée au Musée Barthélemy Thimonnier de la machine à coudre et du cycle, à Amplepuis. Voir http://anciensveloslyonnais.weebly.com/ Archives Bernard Gambade |
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L’avenue Berthelot, appelée ainsi depuis 1907, est longue d’un peu plus de 3km. C’est la grande artère lyonnaise qui part de la rive gauche du Rhône vers l’est en direction de Grenoble et les Alpes, autrefois nationale 6.
La photo prise avant la première guerre mondiale, peu après le 1er km, montre la partie de l’avenue, après la place Jean-Macé, bordée d’immeubles uniquement du côté nord. En face c’est la voie ferrée sur un très haut talus.
Le magasin WOLHAUSER était installé dans le premier bâtiment reconnaissable grâce aux soupiraux des sous-sols. Il semble que le 77 était déjà une boutique et le 79 un logement (avec l'entrée par le couloir).
L' avenue Berthelot a abrité les "grands maitres" lyonnais du cycle:
André REISS (cycles REYHAND) au 61 et Paul CHARREL au 153.
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La photo prise avant la première guerre mondiale, peu après le 1er km, montre la partie de l’avenue, après la place Jean-Macé, bordée d’immeubles uniquement du côté nord. En face c’est la voie ferrée sur un très haut talus.
Le magasin WOLHAUSER était installé dans le premier bâtiment reconnaissable grâce aux soupiraux des sous-sols. Il semble que le 77 était déjà une boutique et le 79 un logement (avec l'entrée par le couloir).
L' avenue Berthelot a abrité les "grands maitres" lyonnais du cycle:
André REISS (cycles REYHAND) au 61 et Paul CHARREL au 153.
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Remerciements
Pour leurs renseignements à : Mairie de Granges sur Baume, Chambre des Métiers et Chambre de Commerce et d’Industrie du Rhône, Georges Pithioud, Bernard Chaussinand, Michel Gros, Bertrand Flavigny, René Bellone, Philippe Fetter, Michel Doutaz ...
Pour des photos et documents à : Guy Salomon, René Remangeon, Gérard Salmon (La Vélocithèque), Bernard Aulas (voir blog : Auguste Aulas par Guillaume EHRET), Bernard Gambade, Alain Calmus, Helge Schultz, Michel Fusy (UCCours), Daniel Grégoire, Christian Desbrosses, Emile Arbes, Pierre Diéterlé, René Bellone, Jean Louis Bouvier, Gérard Norce, André Mossière, Dominique Bouten, Hervé Roche …
Pour leurs renseignements à : Mairie de Granges sur Baume, Chambre des Métiers et Chambre de Commerce et d’Industrie du Rhône, Georges Pithioud, Bernard Chaussinand, Michel Gros, Bertrand Flavigny, René Bellone, Philippe Fetter, Michel Doutaz ...
Pour des photos et documents à : Guy Salomon, René Remangeon, Gérard Salmon (La Vélocithèque), Bernard Aulas (voir blog : Auguste Aulas par Guillaume EHRET), Bernard Gambade, Alain Calmus, Helge Schultz, Michel Fusy (UCCours), Daniel Grégoire, Christian Desbrosses, Emile Arbes, Pierre Diéterlé, René Bellone, Jean Louis Bouvier, Gérard Norce, André Mossière, Dominique Bouten, Hervé Roche …
------------------- Liens amis -------------------
http://anciensveloslyonnais.weebly.com/ Ce blog est un constat basé sur de la documentation d'époque et des photos de machines représentatives qui subsistent en état d'origine ou peu restaurées. Il n'a ni l'intention ni la capacité d'être exhaustif. Ce n'est que le reflet d'un savoir au moment de la mise en ligne. Tout pourra donc être affiné par des apports ultérieurs. Il s'agit seulement de montrer que Lyon et sa périphérie ont été présents dans le domaine vélocipédique, dès la période d'apparition du vélocipède à pédales (voire même, peut-être, avant).
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www.jeandegribaldy.com Une formidable collection d'extraordinaires photos de toutes les époques, pour rendre hommage à Jean de Gribaldy, grande figure du cyclisme européen ,qui fut associé à Raymond Wolhauser pendant quelques années.
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http://anciensveloslyonnais.weebly.com/ Ce blog est un constat basé sur de la documentation d'époque et des photos de machines représentatives qui subsistent en état d'origine ou peu restaurées. Il n'a ni l'intention ni la capacité d'être exhaustif. Ce n'est que le reflet d'un savoir au moment de la mise en ligne. Tout pourra donc être affiné par des apports ultérieurs. Il s'agit seulement de montrer que Lyon et sa périphérie ont été présents dans le domaine vélocipédique, dès la période d'apparition du vélocipède à pédales (voire même, peut-être, avant).
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www.jeandegribaldy.com Une formidable collection d'extraordinaires photos de toutes les époques, pour rendre hommage à Jean de Gribaldy, grande figure du cyclisme européen ,qui fut associé à Raymond Wolhauser pendant quelques années.
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